juin 2025

Ce 30 juin 2025, alors que la RDC célèbre le 65e anniversaire de son indépendance, le Dr Henri Zigabe Bigirinama adresse un message fort et porteur d’espoir à l’ensemble du peuple congolais.

En cette journée symbolique, il dédie cette célébration à tous les fils et filles de la nation, avec une pensée toute particulière pour les habitants de Bukavu, ville chère à son cœur et théâtre de nombreux défis, surtout sécuritaires, mais aussi de grandes résiliences.

Dans son message, le Dr Zigabe salue les efforts du président de la République, Félix Tshisekedi, qu’il considère comme un homme de détermination, engagé sur le chemin de la souveraineté nationale et de la lutte contre la balkanisation du pays. Pour lui, les avancées enregistrées sur le plan diplomatique et institutionnel sont la preuve d’une gouvernance orientée vers la défense des intérêts du Congo et de son unité.

« *Le président Tshisekedi est en train de réussir là où beaucoup ont échoué. Nous devons lui accorder notre soutien et l’accompagner dans cette lutte pour un Congo uni, fort et respecté* », a déclaré le Dr Zigabe.

Dans son message patriotique, le Dr Zigabe affirme également s’aligner derrière le professeur Modeste Bahati Lukwebo, qu’il qualifie de lion du développement au Sud-Kivu. Selon lui, le deuxième vice-président du Sénat incarne une vision concrète de transformation sociale à travers des initiatives en faveur de la jeunesse et la création d’emplois. « Le professeur Bahati Lukwebo est un modèle. Il ne parle pas seulement de développement, il l’incarne. Il a donné du travail aux jeunes, soutenu l’éducation et promu les infrastructures dans plusieurs coins de notre province », souligne-t-il.

En cette fête de l’indépendance, le Dr Zigabe lance donc un appel à l’unité, à la responsabilité collective et à la solidarité entre les Congolais pour relever les nombreux défis auxquels le pays fait face. Il estime que c’est ensemble, dans la paix et la justice, que la RDC pourra réaliser les rêves de ses pères fondateurs.

Serge IRENGE

L’analyste politique Graddy Oloko s’est exprimé ce jour sur l’opération initiée par la ministre nationale de la Jeunesse et de l’Éveil patriotique, Madame Noëlla Ayeganagano, intitulée « Aucune parcelle sans drapeau ».

Une initiative ambitieuse et symbolique qui invite chaque citoyen à hisser le drapeau national sur sa parcelle, pour raviver le sentiment d’appartenance et de patriotisme à travers toute la République démocratique du Congo.

Mal comprise ou critiquée par certains de ses détracteurs, cette opération est pourtant, selon Graddy Oloko, un geste fort, porteur de sens, qui mérite encouragement et soutien. Il affirme que porter ou hisser le drapeau de la nation est un acte de fierté nationale, d’engagement patriotique, de solidarité et d’unité.

“La ministre joue pleinement son rôle. Cette action simple en apparence est en réalité une base solide dans le travail de l’éveil patriotique. Elle touche le quotidien des Congolais, elle réveille les consciences, elle rassemble les cœurs autour de l’amour de la patrie”, soutient Graddy Oloko.

L’analyste félicite la ministre Ayeganagano pour son engagement constant en faveur de la jeunesse et du patriotisme, tout en l’invitant à poursuivre dans ce même élan et à multiplier des initiatives de ce genre, capables de reconstruire le tissu moral et national du pays.

Pour lui, ce type d’action devrait être relayé dans toutes les provinces, soutenu par les autorités locales et encouragé dans les écoles, les quartiers, les lieux publics et même les entreprises. Car dans un pays confronté à de nombreux défis, l’amour du drapeau et de la patrie est une force invisible mais puissante, qui peut rassembler et redonner espoir.

LA RÉDACTION

Face aux rumeurs faisant état d’un prétendu blocage orchestré par le président de l’Assemblée provinciale de Kinshasa, l’honorable Lévi Mbuta Sangupamba, concernant une question orale avec débat adressée au Gouverneur de la ville, Daniel Bumba, l’analyste politique Graddy Oloko apporte des précisions importantes pour éclairer l’opinion.

Après avoir approché un membre du bureau de l’Assemblée provinciale de Kinshasa, Graddy Oloko révèle que le traitement d’une question orale avec débat suit une procédure bien encadrée par le règlement intérieur de cette institution. Selon les explications reçues, lorsqu’une question est introduite, elle est d’abord transmise au bureau, qui l’oriente ensuite vers le bureau d’étude pour examen. Ce n’est qu’après cette étape que le bureau, collégialement, décide de l’inscription à l’ordre du jour.

Contrairement aux accusations tendant à faire croire que le président Lévi Mbuta agirait seul ou détiendrait un droit de veto, la réalité est toute autre : « Le président n’agit jamais seul. Il n’a pas de pouvoir unilatéral sur le traitement des questions adressées à l’exécutif provincial », explique l’analyste.

Dans le cas spécifique évoqué, le dossier est parvenu avec un léger retard, ce qui ne permettait plus son inscription dans l’agenda de la session actuelle. Par conséquent, la question sera bien traitée lors de la prochaine session de septembre, conformément aux usages parlementaires.

Graddy Oloko dénonce donc les manipulations et les interprétations tendancieuses qui visent à jeter le discrédit sur la gestion responsable du président Lévi Mbuta. Il rappelle que ce dernier est reconnu par les Kinois comme “la Sentinelle de la ville de Kinshasa”, pour son engagement sans faille, sa maturité politique et sa volonté manifeste de faire avancer la capitale.

« Il n’y a aucun blocage de la part du président Lévi Mbuta. Ceux qui propagent cette rumeur cherchent tout simplement à créer un faux débat », conclut Graddy Oloko.

LA RÉDACTION

Une fois de plus, une activité majeure qui devait mettre le Président de la République face à la jeunesse a été annulée, suscitant de nombreuses interrogations.

En tant qu’analyste politique, Graddy Oloko a été interpellé sur cette situation. D’après ses analyses et informations obtenues, un malaise persistant semble opposer le Conseil National de la Jeunesse (CNJ) au Ministère de la Jeunesse et de l’Éveil Patriotique, dirigé par Madame la Ministre Noëlla Ayeganagato .

Ce n’est pas un cas isolé. En 2024 déjà, un événement similaire avait été annulé dans des circonstances quasi-identiques. Pour Graddy Oloko, la répétition de ces incidents témoigne d’un dysfonctionnement institutionnel qu’il devient urgent de résoudre.

Loin de pointer du doigt la ministre, Graddy Oloko estime au contraire que Noëlla Ayeganagato accomplit sa mission avec rigueur, engagement et une vision claire pour la jeunesse congolaise. Ses nombreuses initiatives montrent une volonté réelle de changement. Malheureusement, cette volonté se heurte à un Conseil National de la Jeunesse souvent instable et mal coordonné.

Selon les sources de Graddy Oloko, l’actuel président du CNJ, Monsieur William, entretiendrait des tensions répétées avec les autorités ministérielles, marquées par un manque de respect et de collaboration. Ce genre de scène, souligne-t-il, a déjà été observé sous l’ancien ministre Yves Bunkulu. Il s’agit donc d’un problème structurel récurrent qui freine l’élan des politiques publiques en faveur de la jeunesse.

Face à cela, Graddy Oloko recommande une réforme profonde du Conseil National de la Jeunesse et suggère que Monsieur William cède sa place à une nouvelle génération de leaders plus respectueux et capables de collaborer efficacement avec les institutions étatiques.

Enfin, Graddy Oloko salue la bravoure, la vision et la capacité d’action de Madame la Ministre Noëlla Ayeganagano. Il reste convaincu qu’avec des moyens adéquats et une équipe cohérente, elle fera rayonner l’espoir chez des milliers de jeunes Congolais qui ne demandent qu’à être écoutés, valorisés et encadrés.

LA RÉDACTION

Kolwezi, RDC – Interrogé par la presse sur la situation politique et socio-économique dans la province du Lualaba, l’analyste politique Graddy Oloko a brisé le silence après une longue période d’observation.

Dans une déclaration ferme et argumentée, il a salué la gouvernance exemplaire de la gouverneure Fifi Masuka, qu’il considère comme un modèle de leadership féminin en République Démocratique du Congo.

« Je suis resté calme pendant beaucoup de temps pour mieux comprendre, pour analyser avec recul les dynamiques en cours dans cette province. Et aujourd’hui, je peux le dire avec certitude : Fifi Masuka est la meilleure gouverneure que le pays ait actuellement. », a affirmé Graddy Oloko.

L’analyste met en avant des résultats concrets pour étayer ses propos : modernisation des infrastructures, stabilité institutionnelle, promotion du développement local et gestion rigoureuse des ressources publiques. Selon lui, le mérite récemment accordé à Mme Masuka par le Chef de l’État Félix Tshisekedi n’est que la reconnaissance d’un travail visible et mesurable.

« Le mérite reçu auprès du chef de l’État avait toute sa place. Il suffit d’aller au Lualaba, de visiter Kolwezi, et de constater de ses propres yeux l’évolution des infrastructures et la transformation de cette province minière autrefois négligée. »

Graddy Oloko va plus loin en plaidant pour une promotion à l’échelle nationale :

« Fifi Masuka mérite d’être élevée même comme Première ministre. Elle nous a montré qu’une femme peut accomplir énormément, parfois même là où certains hommes échouent. C’est une démonstration de leadership, d’audace et d’efficacité. »

À l’heure où la question de la représentativité des femmes dans les institutions de la République reste d’actualité, le parcours de Fifi Masuka au Lualaba pourrait bien devenir une référence pour l’ensemble du pays. Graddy Oloko conclut en appelant à une reconnaissance accrue des compétences féminines au plus haut sommet de l’État.

LA RÉDACTION