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Sécurité
Goma: 3 journalistes sont blessé dans la manifestation contre la Force régionale dans l’Est de la RDC
by Zionews
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Une manifestation à été organisée par les mouvements citoyens et groupes de pression ce mercredi 18 janvier 2023 dans la ville de Goma (Nord-Kivu), trois (3) journalistes dont Merveilles Kiro de POLITICO.CD ont été blessés.
Signalons que cette manifestation à était organisé pour demander évacuation de la force régionale de L’EAC sur l’étendue de la République Démocratique du Congo par ce qu’ils n’ont pas étaient capable à géré la situation sécuritaire à l’est de la République Démocratique du Congo mais au contraire la situation sécuritaire continue à se dégradent .
Béni: Un ressortissant kenyan suspecté d’avoir participé à l’attentat à la bombe piégée dans une église pentecôtiste de Kasindi,
by Zionews
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L’armée a indiqué qu’une bombe avait explosé dimanche dans une église dans l’est de la RD Congo, faisant plus dix morts et des dizaines de blessés. Les services de sécurités dépêchés sur place ont pris le contrôle de la situation et évacué les blessés.
L’explosion qui a fait plusieurs morts et blessés ce dimanche dans une église à Kasindi, poste-frontière entre la RDC et l’Ouganda dans la province du Nord-Kivu, est un attentat à la bombe perpétré « visiblement par les ADF », renseigne le gouvernement qui « condamne vigoureusement cet acte ». L’événement s’est produit en plein culte dans la paroisse de la 8e Communauté des Églises Pentecôtistes du Congo.
Le porte-parole du gouvernement congolais, Patrick Muyaya, a accusé les terroristes ADF (Forces démocratiques alliées) d’être responsables de cet attentat à la bombe.Les ADF sont actifs dans la zone de Kasindi à la frontière avec l’Ouganda, traqués par des militaires congolais et ougandais.
« Les ADF ont procédé à cet attentat parce qu’ils sont acculés en profondeur », a expliqué le capitaine Mualushayi.Les ADF ont massacré plusieurs milliers de civils dans la région de Beni au Nord-Kivu et en Ituri depuis 2017.
Depuis sa nomination à la tête de l’armée Congolaise il vient d’effectuer sa première visite officielle à l’est de la République Démocratique du Congo.
Le but de son visite à Goma ne pas Encore révélé mais quelques sources signaler que sa pourrait être pour plusieurs raisons mais principalement pour le dossier du groupe terroriste du M23.
Signalons que malgré la présence de la force régionale de EAC au Nord-Kivu rien encore la situation continue à être là même de l’autre côte.
Malgré plusieurs trahisos Au seins du FARDC Ils continuent à défendre l’intégrité national de la République Démocratique du Congo.
Les forces armées ougandaises n’attaqueront pas les rebelles du M23 lorsqu’elles seront déployées dans l’est instable de la République démocratique du Congo (RDC)
by Zionews
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Les forces armées ougandaises n’attaqueront pas les rebelles du M23 lorsqu’elles seront déployées dans l’est instable de la République démocratique du Congo (RDC), rapporte le Chimp Corps.
Le conseiller présidentiel principal chargé des opérations spéciales, le général Muhoozi Kainerugaba, a déclaré mardi soir que l’UPDF travaillerait en étroite collaboration avec les forces régionales pour renforcer la sécurité des habitants et les projets d’infrastructure conjoints entrepris dans le Nord-Kivu.
“Dans l’arrangement actuel de l’EACRF (Force régionale de la Communauté de l’Afrique de l’Est dans l’est de la RDC), l’UPDF se limitera à protéger les wanainchi de la RDC et à assurer la poursuite des projets routiers”, a déclaré le général Muhoozi.
« Nous travaillerons avec nos frères en RDC et au Rwanda pour assurer la sécurité dans cette zone critique. Vive l’Afrique orientale unie ! Les forces de combat ougandaises ont récemment terminé des exercices militaires avant leur déploiement dans l’est de la RDC.
On pensait auparavant que l’UPDF, qui combat déjà les terroristes ADF en Ituri (région de Rwenzori), participerait à des opérations offensives contre les rebelles du M23 à Bunagana et dans d’autres régions proches de la frontière sud-ouest de l’Ouganda.
Les rebelles du M23 seraient soutenus par le Rwanda, ce que Kigali dément. Muhoozi, qui a été à l’avant-garde du rétablissement des relations entre l’Ouganda et le Rwanda, tient à éviter un conflit avec le M23.
Le chef adjoint des forces de défense ougandaises, le lieutenant-général Peter Elweru, a récemment averti le M23 d’une action militaire imminente si le mouvement rebelle ne parvenait pas à quitter la ville frontalière de Bunagana et d’autres zones occupées.
« Selon nous, le M23 devrait revenir à ses positions antérieures pour qu’un véritable dialogue ait lieu », a récemment déclaré Elweru.
“Si les forces régionales de l’EAC déployées décident à l’unanimité de repousser le M23, cela ne prendra même pas 24 heures, elles le savent très bien”, a-t-il souligné. Les rebelles du M23 ont quitté les territoires occupés et les ont remis aux forces de l’EAC.
L’EACRF a récemment déclaré que “le retrait coordonné, séquencé et systématique du M23 qui a commencé à Kibumba s’étendra à Rumagambo d’ici le 5 janvier 2023 et ensuite à Kishishe, l’EACRF déployant simultanément des troupes pour reprendre les positions libérées”.
La saisie de la route stratégique par les rebelles du M23 a perturbé le commerce entre l’Ouganda et la RDC et déplacé plus de 200 000 personnes, dont beaucoup ont fui vers l’Ouganda.
La construction de la route Bunagana-Goma est au point mort depuis que les rebelles du M23 se sont emparés de Bunagana l’année dernière.
Le matériel de construction routière a été restitué à Kisoro. La construction de la route Bunagana-Rutshuru-Goma (89 km) devait faciliter la circulation des marchandises de l’Ouganda vers la ville provinciale de Goma et vice versa, promouvoir le commerce bilatéral et attirer les investissements dans la région.
La RDC, qui compte 107 millions d’habitants, est le plus grand partenaire commercial de l’Ouganda en Afrique de l’Est.
L’ambassadeur de la RDC en Ouganda, Jean Pierre Masala, a révélé qu’au mois de janvier 2022, les exportations ougandaises vers la RDC ont atteint la somme stupéfiante de 71 millions de dollars.
“Cela signifie que dans 12 mois, les exportations ougandaises seront d’environ 1 milliard de dollars”, a-t-il ajouté.
ChimpReports comprend qu’une quantité substantielle des exportations ougandaises vers la RD Congo sont passées par Bunagana, y compris des matériaux de plâtre, de la chaux et du ciment qui ont attiré 43 millions de dollars en 2020 ; les huiles comestibles qui ont rapporté 26 millions de dollars la même année et les boissons et spiritueux qui ont généré des revenus de 20 millions de dollars en 2020.
Didas Mwebesa, un commerçant de Kisoro, explique que depuis que le M23 a intensifié ses attaques contre les forces congolaises, le district a été inondé de réfugiés.
« Le prix des biens de consommation a énormément augmenté. Il y a pénurie de nourriture, en particulier les pommes de terre irlandaises dont le prix a presque triplé au cours du dernier mois », a déclaré Mwebesa.
“Beaucoup de gens meurent dans ce conflit.” La force EAC comprend des unités militaires du Kenya, de l’Ouganda, du Soudan du Sud et du Burundi.
Les combats ont repris tôt ce dimanche 18 décembre entre les FARDC et les rebelles du M23
by Zionews
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Les combats ont repris tôt ce dimanche 18 décembre entre les FARDC et les rebelles du M23 dans le groupement de Bishusha, territoire de Rutshuru au Nord-Kivu.
Selon les sources contactées à Kitshanga, des tirs sont entendus depuis 2 heures du matin dans la localité de Chumba, groupement Bishusha, à vingtaine de kilomètres de Kitshanga.
Elles précisent que les éléments FARDC ont reconquis plus de quatre localités qui étaient occupées par les rebelles dans le groupement de Bishusha.
RDC: Une séance d’essai à l’arme lourde au champ de tirs à SAKE, ce Samedi 17 décembre 2022.
by Zionews
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Ce samedi 17 Décembre 2022 Le FARDC et la Monusco vont procéder à une séance d’essai à l’arme lourde au champ de tirs à SAKE, en territoire de Masisi.
Le Gouverneur Militaire de la Province du Nord-Kivu Lieutenant-Général NDIMA KONGBA Constant, demande à la population de la ville de Goma et des milieux environnants de ne pas Paniquer, de rester calme et de vaquer librement à leurs occupations
Sur les 382 députés nationaux qui ont pris à cette plénière, 376 ont voté pour la 38ème prorogation de l’état de siège dans ces deux provinces en proie à l’insécurité. Cependant, 6 élus ont voté contre ce texte.
Le projet de loi portant autorisation, pour une 38ème fois, de la prorogation de l’état de siège a été présentée par le vice-ministre de la Justice, Amato Buyabuzire Mirindi.
Dans sa présentation, le vice-ministre de la Justice a expliqué aux élus nationaux les raisons de cette énième prorogation. Amato Buyabuzire Mirindia a demandé de proroger l’état de siège pour répondre aux besoins de ramener la paix et la sécurité dans cette partie de la RDC.
Cette prorogation, a-t-il indiqué, s’inscrit également dans la perspective de consolidation des acquis des opérations militaires engagées et de la poursuite des actions d’envergure en vue de mettre fin au terrorisme et restaurer l’autorité de l’État dans ce coin de la RDC.
Dans son discours sur l’état de la Nation, le weekend dernier, le président Félix Tshisekedi a annoncé la convocation dans les tout prochains jours d’une Table ronde pour évaluer l’état de siège.
La MONUSCO a confirmé, mercredi 7 décembre, que les rebelles du M23 ont tué environ 131 civils aux villages Kishishe, dans le groupement Bambo, territoire de Rutshuru (Nord-Kivu).
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Elle a fait cette confirmation après avoir mené une enquête préliminaire avec le Bureau conjoint des Nations unies aux droits de l’homme (BCNUDH) aux environs du lieu de ce drame :
« Une enquête préliminaire du BCNUDH et de la MONUSCO a permis de confirmer que les rebelles du M23 ont tué au moins 131 civils (NDLR : 102 hommes, 17 femmes et 12 enfants) au cours d’actes de représailles contre les populations civiles perpétrés les 29 et 30 novembre, à Kishishe ».
La mission onusienne condamne la violence innommable contre les civils et appelle à un accès sans restriction aux lieux des faits et aux victimes pour une assistance humanitaire d’urgence.
Elle salue la décision des autorités congolaises d’ouvrir une procédure judiciaire contre les auteurs de ces violations des droits de l’homme et du droit international humanitaire.
La MONUSCO affirme être prête à contribuer à ces efforts et appelle à une cessation immédiate des violences contre les civils dans l’Est de la RDC.
Dans ce communiqué, la mission de l’ONU réitère également l’appel de son Secrétaire général pour que les groupes armés congolais et étrangers déposent immédiatement les armes et s’engagent dans les processus de paix.
Hormis les tueries, rappelle la MONUSCO, les rebelles du M23 ont blessé huit personnes par balles et kidnappé 60 autres à Kishishe et ses environs.
« Au moins 22 femmes et cinq filles ont été violées. Ces violences ont été commises dans le cadre d’une campagne de meurtres, de viols, d’enlèvements et de pillages contre ces deux villages du territoire de Rutshuru en représailles à des affrontements entre le M23 et les Forces démocratiques de libération du Rwanda (FDLR-FOCA) et des groupes armés Myi-Mai Mazembe et Nyatura Coalition des Mouvements pour le Changement », a fait savoir la MONUSCO.
Des rebelles du M23 auraient enterré eux-mêmes les corps des victimes pour tenter d’effacer des preuves.
Les enquêteurs de la MONUSCO et du BCNUDH souhaitent se rendre dans les plus brefs délais à Kishishe pour poursuivre leurs investigations.