BAPERE: Les sociétés civiles et les chefs coutumiers exigent le départ immédiat de tous le groupe armés (Wazalendo) et soutiennent la force conjointe FARDC-UPDF

Le collectif des sociétés civiles et les chefs coutumiers exigent le départ de tous les groupes armés s’appelant “wazalendo” œuvrant dans le secteur de bapere et dans le groupement Manzia sur la route Butembo _Manguredjipa en territoire de lubero au Nord-Kivu.

ces couches sociales du secteur de bapere l’ont dit devant le général Bruno Mandevu commandant des opérations sokola1 grand ce vendredi 27 septembre 2024 à l’occasion de son séjour à mangurejipa dans une mission de service.

Ces groupes wazalendo sont accusés de travailler avec les terroristes ADF étant donné que ces rebelles tuent les habitants près de leurs positions sans aucune réaction.

il sont réputés dans les tracasseries dont l’imposition des jetons et l’installation des barrières illégales sur les routes de désertes agricoles, attestations arbitraire et pillages de ressource miniers comme de l’Or .

KAGHENI SAMUEL président de la société civile forces vives du secteur de bapere rappel le gouverneur militaire du Nord-Kivu l’application de sa lettre annonçant la traque des faux wazalendo pour contribuer au retour de la paix dans cette partie du territoire de lubero.

<< les rebelles ADF ont tué la paisible population dans tout les villages qu’ils occupent sans aucune intervention de leurs part.outre ces allégations, nous reprochons à ces groupes armés des tracasseries dont l’imposition des jetons et des barrières illégales pour rançonner de l’or et de biens de la population.Nous demandons au gouverneur du Nord-Kivu , l’application de son ordonnance annonçant la traque des faux wazalendo>>.

Plusieurs villages du secteur de bapere sont sous contrôle des groupes armés locaux qui y impose leurs propres lois.malgré leurs présences les ADF exécute sans ambages des civils, incendié des maisons kidnappe les autres et sèment la pagaille dans les villages sous leurs occupation .

Cette naïveté de ces porteurs d’armes est toujours dénoncée par les couches sociales, politique voir même estudiantine, des revendications qui ne trouve pas solution au près de services à titrés.

MAUA GRACE

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