Depuis son arrivée à la présidence, Samia Suluhu Hassan a imprimé une marque plus conciliante et pragmatique sur la politique tanzanienne, rompant — du moins en partie — avec certaines des orientations plus fermes de l’ère précédente. Sa gouvernance a cherché à rétablir le dialogue avec la communauté internationale, à attirer des investissements étrangers et à renforcer la gestion macroéconomique. Toutefois, la scène politique tanzanienne reste marquée par le poids du parti au pouvoir, le Chama Cha Mapinduzi (CCM), et par des défis récurrents en matière de liberté d’expression et d’espace civique. Les réformes institutionnelles nécessaires — indépendance des organes électoraux, renforcement du système judiciaire, mise en place de mécanismes transparents de passation des marchés — restent au cœur des débats. Parallèlement, la question de la succession et de la cohésion interne au CCM demeure une priorité pour les observateurs, notamment à l’approche des cycles électoraux futurs. Sur le plan régional, la Tanzanie continue de jouer un rôle de premier plan dans la Communauté d’Afrique de l’Est, cherchant à maintenir des relations stables avec ses voisins tout en défendant ses intérêts économiques, notamment sur les corridors de transport et les projets énergétiques.

Depuis son arrivée à la présidence, Samia Suluhu Hassan a imprimé une marque plus conciliante et pragmatique sur la politique tanzanienne, rompant du moins en partie  avec certaines des orientations plus fermes de l’ère précédente.

Sa gouvernance a cherché à rétablir le dialogue avec la communauté internationale, à attirer des investissements étrangers et à renforcer la gestion macroéconomique.

Toutefois, la scène politique tanzanienne reste marquée par le poids du parti au pouvoir, le Chama Cha Mapinduzi (CCM), et par des défis récurrents en matière de liberté d’expression et d’espace civique.

Les réformes institutionnelles nécessaires indépendance des organes électoraux, renforcement du système judiciaire, mise en place de mécanismes transparents de passation des marchés  restent au cœur des débats. Parallèlement, la question de la succession et de la cohésion interne au CCM demeure une priorité pour les observateurs, notamment à l’approche des cycles électoraux futurs.

Sur le plan régional, la Tanzanie continue de jouer un rôle de premier plan dans la Communauté d’Afrique de l’Est, cherchant à maintenir des relations stables avec ses voisins tout en défendant ses intérêts économiques, notamment sur les corridors de transport et les projets énergétiques.

LA REDACTION

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