La France envisage une mesure sans précédent contre des dignitaires du régime algérien. Selon des sources gouvernementales, les ministères de l’Économie et de l’Intérieur étudient actuellement le gel des avoirs de vingt hauts responsables algériens en lien avec des soupçons de corruption, de blanchiment d’argent et de détournements de fonds publics.
Un virage diplomatique
Cette démarche intervient dans un contexte de relations tendues entre Paris et Alger, notamment autour de la question mémorielle, de la circulation des personnes et de la lutte contre l’immigration clandestine.
Qui est visé ?
La liste inclurait d’anciens ministres, des généraux à la retraite, ainsi que des hommes d’affaires proches du pouvoir. Les avoirs visés comprennent des biens immobiliers, comptes bancaires et parts dans des entreprises établies sur le sol français.
Une initiative coordonnée
La France souhaiterait coordonner cette action avec d’autres pays européens, notamment la Belgique et l’Espagne, où certains de ces responsables détiendraient également des actifs.
Réaction d’Alger attendue
Les autorités algériennes n’ont pas encore officiellement réagi, mais une telle décision pourrait fortement dégrader les relations diplomatiques déjà fragiles entre les deux pays.
Affaire à suivre dans les prochaines heures.
LA REDACTION