Très actif depuis son arrivée à la tête de l’Institut National du Bâtiment et des Travaux Publics (INBTP), le Directeur Général Cédric Tshibangu fait face, depuis quelques jours, à une vague de critiques relayées par certains médias locaux.
Selon plusieurs observateurs, ces attaques seraient orchestrées par des détracteurs dérangés par la nouvelle dynamique insufflée au sein de l’institution.
Un an après la mise en place du nouveau comité de gestion, les résultats sur le terrain sont pourtant visibles. Modernisation des infrastructures, amélioration de la gouvernance interne et relance des activités pédagogiques : autant d’actions concrètes qui traduisent la volonté de redonner à l’INBTP sa place de référence dans le domaine de la formation en génie civil et en travaux publics.
Mais, comme le dit l’adage, « un fruit mûr attire toujours la convoitise ». Un journal paraissant à Kinshasa, « Le Monde », a récemment publié un article accusant le DG Tshibangu de diverses irrégularités, sans toutefois avancer de preuves tangibles. Une publication que plusieurs acteurs du milieu qualifient de « diffamatoire » et « contraire aux règles élémentaires du journalisme ».
L’entourage du Directeur Général n’a pas tardé à réagir, dénonçant une campagne de dénigrement visant à ternir l’image d’un responsable apprécié pour sa rigueur et son engagement.
De leur côté, des organisations citoyennes, dont Les Sentinelles de la République, se disent « indignées par ce comportement irresponsable d’un média censé informer avec objectivité ». Elles envisagent même des poursuites judiciaires contre les auteurs de l’article incriminé.
Malgré ces attaques, le comité de gestion de l’INBTP affirme rester concentré sur sa mission : poursuivre les réformes, améliorer la qualité de la formation et renforcer la réputation de l’Institut, fleuron de l’enseignement technique et professionnel en République Démocratique du Congo.
Nestor Fuluma