Au moins 5 secteurs de l’église catholique de la paroisse Jean-Paul 2 de Masoya ont fermé leurs portes dans le groupement Mwenye en territoire de Lubero à cause de l’insécurité orchestrée par les présumés UPLC qui se déguisent pour des ADF afin de terrorisé les civils.
C’est l’Abbé Crispin Ngwali Curé de cette paroisse qui l’a annoncé à zionnews-tv.net ce lundi 10 février 2025. Selon lui, la montée des violences causées par ces éléments Uplc qui échappe au contrôle de leurs troupes à occasionné la suspension temporaire des activités pastorales pour épargner les fidèles et le personnel religieux d’éventuels massacre.
Par ailleurs, l’Abbé Crispin Ngwali appelle tous les déplaces venus de mwenye à évité de quémander des vivres plutôt de créer un comité pour cette cause.
Cet homme de Dieu à toute fois demande aux autorités compétentes de tout faire pour assoir la paix dans cette partie du territoire de Lubero dans la province du Nord-Kivu à l’Est de la RDC.
Lors des récentes attaques des ADF dans le groupement mwenye en chefferie de baswagha aumoins une dizaine des civils avaient était exécuté par les armes blanches et en feu. Ces exactions qui se déroulaient près des positions des éléments Uplc ont suscité des vives inquiétudes et indignations sur le rôle des Uplc dans le guerre des rebelles ADF. Les ADF tuent , brûlent et emporte des personnes près de leurs camps sans ripostes. Cette naïveté prouve la complicité de cette milice dans le tuerie de civils innocents. Plusieurs voix se sont levés pour réclamer leurs retrait au détriment des l’armée congolaise Fardc ou soit de la coalition Fardc-updf. La société civile , le chef du groupement et certains acteurs politiques de mwenye ont présentés la semaine dernière une lettre d’indignation au près du gouvernement militaires le général KAKULE Somo Evariste à béni . Dans leur déclaration les notables de mwenye au exiger le retrait des maimais Uplc sur tout l’ensemble du groupement mwenye.
Seul la réaction et l’intervention du gouvernement demeure l’unique solution à cette problématique.
Maua Grace