Sé Dr ZIGABE BIGIRINAMA Henri ISAAC, penseur libre, analyste politique et MasterCoach, partage une histoire qui, bien qu’imaginaire, illustre une vérité universelle sur la force de la détermination humaine.
Il évoque le parcours d’un jeune garçon abandonné, livré à lui-même dans les rues de Buenos Aires. Ce garçon, nommé Thomas, vit son dernier instant avec sa mère dans une gare animée. Elle lui dit adieu, un rouge à lèvres fraîchement appliqué, et disparaît dans la foule. Dès lors, Thomas doit survivre seul, grandir sans repères, apprendre de la rue, entre durs labeurs et moments de solitude.
Il se souvient des nuits passées à compter les étoiles, de ses rêves d’une vie meilleure, et de l’envie discrète qu’il ressentait envers ces enfants qui, eux, avaient une maison, des repas réguliers et une famille pour les attendre.
Un jour, face à un juge de paix, Thomas, alors âgé de six ou sept ans, demande une seule chose : aller à l’école. Il sait que l’éducation est son seul espoir. Il n’a ni domicile ni ressources, mais il a une volonté inébranlable. Le matin, il assiste aux cours avec ses habits usés, écoute attentivement, emprunte un crayon au professeur qu’il rend en fin de journée. L’après-midi, il se plonge dans les livres à la Bibliothèque nationale.
Et c’est ainsi que ce jeune homme, contre toute attente, gravit les échelons et devient un leader remarquable. Il incarne la persévérance et l’aspiration à une vie meilleure, nous rappelant que la force d’un individu ne réside pas dans son point de départ, mais dans sa volonté d’avancer.
À l’âge de cinq ans, sa mère lui a dit au revoir dans la rue, dans une gare de Buenos Aires. Elle ne voulait pas, ne savait pas comment ou ne pouvait pas s’occuper de lui. Il se souvient de l’intensité de ce dernier moment, il se souvient parfaitement des vêtements de sa mère et il la voit, aujourd’hui à distance, en mettant du rouge à lèvres avant de dire au revoir. De là, le chemin serait constitué de rochers, de pierres, de ponts et de rues de banlieue. Il a grandi dans la rue et a appris de la rue : le bon, le douloureux et l’inoubliable.
Thomas dit que, dans un des nombreux livres qu’il a dévorés, un auteur disait : « Les blessures guérissent avec le temps. » Mais il dit non, qu’il y a des blessures qui ne seront plus jamais suturées et qui resteront ouvertes et palpitantes jusqu’à ce qu’elles meurent. La fillette de huit à neuf ans qui l’accompagnait enviait sa vie et son époque. Thomas n’avait pas d’horaire, pas de parents à forcer, pas de mère à commander. Le reste des enfants en avaient et devaient donc rentrer chez eux à une heure, manger selon un horaire et se coucher tôt. C’est pourquoi ils enviaient Thomas, et c’est pourquoi Thomas les enviait aussi silencieusement ; surtout quand des amis partaient. Il comptait les étoiles ou posait son nez sur la vitrine d’un restaurant. Il enviait sainement la chance des autres, les défis qu’il n’avait pas et les obligations qui lui manquaient.
Un juge de paix, alors qu’il avait six ou sept ans, lui dit qu’il ne savait que faire de lui, car il n’était pas encore en âge d’aller dans un institut pour mineurs ou dans n’importe quel foyer… Alors Thomas, le petit Thomas de l’époque, demanda une chose au juge : aller à l’école. Le juge lui a demandé où il allait vivre et Thomas lui a dit de ne pas s’inquiéter, qu’il s’occuperait du reste. C’est pour cela qu’il a commencé l’école. Il y allait avec les vêtements qu’il avait et avec la pauvreté qu’il portait, il écoutait, il faisait ses devoirs et puis, avant de partir, il rendait le crayon emprunté au professeur. L’après-midi, il étudiait à la Bibliothèque nationale.
Et c’est ainsi que Thomas Jefferson devint président des États-Unis de 1801 à 1809. Il est né le 13 avril 1743 et est décédé le 4 juillet 1826.
Admirez ce jeune homme d’autrefois. Bien qu’il ait été abandonné lorsqu’il était enfant, il n’a pas reculé ; il a continué à se battre. Et combien d’enfants aujourd’hui deviennent toxicomanes ? Ils ne se battent pas pour changer de vie.
Peu importe les épreuves de la vie et les blessures du passé, la détermination et la persévérance peuvent mener à des réalisations incroyables. Chaque défi surmonté forge la force intérieure et prépare à de plus grands succès.
“Maintenant que vous avez pris le temps de lire ces mots, que cet instant de réflexion vous inspire à offrir un simple merci.
Le Dr Zigabe Bigirinama Henri Isaac , Penseur Libre, Analyste Politique et MasterCoach nous invite à voir au-delà des apparences et à comprendre que chaque épreuve forge une résilience inestimable. Trop souvent, des enfants abandonnés sombrent dans la délinquance ou la toxicomanie. Pourtant, l’histoire de Thomas nous prouve que chaque obstacle peut être transformé en tremplin vers la grandeur.
Leçon morale : Peu importe les épreuves, la détermination et la persévérance peuvent mèner à des réalisations incroyables. Chaque difficulté est une opportunité de grandir.
” Maintenant que vous avez pris le temps de lire ces mots, que cet instant de réflexion vous inspire à offrir un simple merci. ”
La Rédaction