Le monde musical congolais est en ébullition depuis la confirmation d’une relation qui évoque une idylle entre Gladys Ngiama, fille du célèbre musicien Werrason, et un certain Samson Matumo, un nom encore peu connu du grand public mais qui attise déjà les curiosités. Sur les réseaux sociaux comme dans les cercles de mélomanes de Wenge Musica Maison Mère, les commentaires vont bon train, entre admiration, questionnements et spéculations.
Mais qui est donc cet homme qui a franchi les portes de la célèbre dynastie artistique fondée par Noël Ngiama Makanda, dit Werrason, et qui a conquis le cœur de l’une de ses filles ?
Un diplomate discret au parcours impressionnant. .
Selon plusieurs témoignages, Samson Matumo est un diplomate de formation, connu pour sa discrétion, son intelligence et son élégance naturelle. « C’est un gars très discret, calme et intelligent. Il n’est pas du genre à s’exhiber sur les réseaux sociaux », témoigne Nestor Fuluma, un ancien camarade de l’Université de Kinshasa.
Doté d’un visage doux, d’une chevelure longue et fournie qui rappelle celle du mythique héros biblique Samson, le jeune homme ne passe pas inaperçu. Mais au-delà de son apparence soignée, c’est surtout son parcours académique et professionnel qui force l’admiration.
Originaire de la ville de Butembo, Samson Matumo a poursuivi ses études à Kisangani, puis à l’Université de Kinshasa, où il s’est spécialisé en Relations internationales, politique internationale. Sa soif de connaissance l’a ensuite conduit aux États-Unis, où il a intégré plusieurs universités prestigieuses. Il a également travaillé au sein de certaines ambassades en RDC, avant de s’installer définitivement aux USA, où il poursuit sa carrière diplomatique et entrepreneur dans la discrétion la plus totale.
Une romance royale ?
La relation entre Gladys Ngiama et Samson Matumo, si elle se concrétise, symboliserait l’union entre deux mondes : la scène musicale flamboyante et le monde feutré de la diplomatie et de l’entrepreneuriat . Une rencontre inattendue, mais peut-être bien taillée pour une saga moderne à la congolaise, car elle mélange l’est et l’ouest du Congo .