la Russie a lancé une attaque aérienne massive sur l’Ukraine, tirant plus de 800 drones et missiles sur plusieurs villes, dont Kiev.
Cette offensive a causé la mort d’au moins cinq personnes et a endommagé le siège du gouvernement ukrainien, marquant une escalade significative dans le conflit en cours.
Réaction des États-Unis
Le président américain Donald Trump a exprimé sa profonde préoccupation face à cette attaque, déclarant qu’il envisageait de nouvelles sanctions contre la Russie. Il a indiqué que les États-Unis étaient prêts à passer à une “deuxième phase” de sanctions, sans fournir de détails spécifiques.
Le secrétaire au Trésor, Scott Bessent, a suggéré que ces sanctions pourraient inclure des mesures secondaires ciblant les pays qui continuent d’acheter du pétrole russe, comme la Chine et l’Inde, afin de réduire les revenus de la Russie et de la pousser à négocier.
Réactions européennes
Les dirigeants européens ont unanimement condamné l’attaque. La présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, a qualifié l’attaque de “barbare” et a affirmé que l’Europe se tenait aux côtés de l’Ukraine. Le président français Emmanuel Macron a également dénoncé l’escalade de la violence par la Russie. [2]
Réponse de l’Ukraine
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a condamné l’attaque comme un crime délibéré et a rejeté une invitation de Vladimir Poutine à des pourparlers de paix, affirmant que la Russie cherchait uniquement à projeter sa puissance plutôt qu’à engager un dialogue sincère.
Il a appelé à une réponse internationale forte et à un renforcement des sanctions contre la Russie.
Cette attaque marque une intensification du conflit en Ukraine et a suscité une réaction internationale vigoureuse.
Les États-Unis et l’Union européenne envisagent de nouvelles sanctions pour répondre à cette escalade, tandis que l’Ukraine appelle à un soutien accru de la communauté internationale.
LA RÉDACTION