Du jamais vu dans l’histoire de l’Assemblée provinciale de Kinshasa : quinze signatures pour demander la déchéance de l’honorable Germaine Tshinyama Pemba, vice-présidente de l’institution.
Bien qu’un compromis ait permis de suspendre la pétition, la société civile estime que Germaine Tshinyama Pemba n’a plus la confiance de ses collègues députés.
Quinze signatures pour une seule personne en disent long sur le rejet dont elle fait l’objet au sein de l’Assemblée.
Ce15tte situation suscite une inquiétude légitime quant à l’avenir de cette institution, surtout avec la présence de la vice-présidente à ce poste, alors qu’elle accumule des fautes administratives graves.
La question que tout le monde se pose reste entière : la paix régnera-t-elle réellement au sein de l’Assemblée, ou assistera-t-on à une farce institutionnelle ? Kinshasa a besoin d’un leadership capable d’inspirer confiance, d’un représentant qui rassemble plutôt que divise.
LA RÉDACTION
